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Traductionsen contexte de "tandem tout-terrain" en français-anglais avec Reverso Context : Le tandem tout-terrain est une pratique particulièrement exigeante, c'est pourquoi, comme pour le cadre, les composants ont été sélectionnés avec soins et rien n'a été laissé au hasard.
Paged'accueil; TOME 1 La préventation - c'est simple et efficace. recto/verso ; Présentation; Avant-propos; J'ai mal, je suis l'écorché tout vif ; Préface
 Le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Antoine Béchamp (1816-1908), docteur en science, en médecine, en chimie et diplômé en pharmacie. Plus tôt le naturopathe intervient, mieux il peut prévenir l’évolution de ces déséquilibres. Et si la maladie est déjà installée, la naturopathie constitue un complément très précieux de la médecine conventionnelle, notamment
RT@JulietteAlpha17: La lecture de ce communiqué est d'utilité publique. Pour mieux comprendre l'impact sur toute la #Police. Le terrain n'est rien sans l'investigation et l'investigation n'est rien sans le terrain. Nous sommes un Tout. #SauvezLaPJ 💪🏼 #SauvezLaPJdeCLEMENCEAU #StopReformeDDPN . 25 Aug 2022 13:56:47
Lemicrobe n'est rien, le terrain est tout"(Pasteur) La Naturopathie est l’art de rester en bonne santé, d’être à nouveau acteur et responsable de sa santé et de prendre soin de soi par des moyens naturels. Femmes, hommes, bébés, adolescents, adultes, personnes âgées tout le monde peut venir voir un naturopathe. Fatigue, troubles du sommeil et de l'humeur, problèmes de
Mon Mari Va Sur Des Site De Rencontre. Cette citation est souvent utilisée par les naturopathes pour expliquer une vision de la santé dans laquelle le terrain de l’individu est central pour prévenir de la maladie. Cette phrase est enseignée dans toutes les écoles de Naturopathie et fait partie des jalons historiques qui ont amené à la pensée naturopathique moderne. Mais cette citation ne présente-t-elle pas une vision extrémiste qui est bien loin de la réalité du vivant et qui va même à l’encontre des enjeux d’une santé intégrative ? Un contexte indispensable J’ai rarement vu une citation attribuée à autant de personnes Béchamp, Bernard et même Pasteur sur son lit de mort ! Ce joyeux bazar de paternité révèle bien les dérives qui accompagnent cette phrase une utilisation qui élude le contexte historique et alimente un conflit stérile entre deux camps, deux visions de la santé. Retournons à la fin du 18e siècle, Antoine Béchamp constate dans ses recherches le pléiomorphisme microbien en fonction du contexte, le microbe peut devenir l’expression d’une maladie et non plus sa cause. Problème, cette constatation vient relativiser la vision monolithique de Pasteur qui considère le microbe comme l’ennemi à abattre car à l’origine de tous les maux. Il n’en fallait pas plus pour lancer une guerre de dogmes. Chaque camp utilise la caricature pour ridiculiser l’autre, les positions se radicalisent et on arrive à cette opposition binaire “microbe est tout” vs. “microbe n’est rien”. Béchamp ? Avec un peu de recul, j’estime que cette citation n’illustre pas vraiment la conception de santé initiale de Béchamp, qui était beaucoup plus modérée et subtile. Si Béchamp l’a prononcée, ce serait plutôt sur le coup d’un agacement face aux attaques, du style un tweet rageux. Cette phrase est la relique d’une bagarre stérile entre deux visions caricaturales qui s’employaient à prendre le dessus l’une sur l’autre. La médecine pasteurienne a gagné le combat à l’époque mais depuis, les opposants à cette philosophie n’ont de cesse d’exhumer la citation de Béchamp pour critiquer la médecine conventionnelle. Et si on passait à autre chose ? Un discours totalitaire n’est que vecteur de clivage. Pourtant, les naturopathes diffusent cette citation sans vraiment prendre conscience de sa dimension dogmatique. Ne pensez-vous pas que nous pouvons faire de la sensibilisation sur le terrain sans retomber dans ces travers passés ? Et puis, les recherches récentes, notamment sur le microbiote, rendent complètement désuète cette citation. Le microbe virus, bactérie, champignon fait partie de notre terrain et joue un rôle majeur pour notre immunité. Il n’est donc pas “rien” mais aussi un allié indispensable à notre santé, à notre résistance aux maladies et tout simplement à notre vie. La naturopathie est d’ailleurs particulièrement vigilante à préserver l’équilibre intestinal et à chouchouter le microbiote. N’est-il pas contradictoire de sensibiliser les gens sur les “bons microbes” qui ont un rôle central dans le travail du terrain et en parallèle se référer à une citation qui assène que le “microbe n’est rien” ? Vers la santé intégrative J’ai pris conscience de cette contradiction en écoutant le Dr Daniel Pénoël qui lors d’une conférence s’est moqué gentiment des naturopathes et de leur citation préférée. La dimension binaire de cette phrase est en effet très loin de la réalité de la vie qui est tout en nuances et en subtilité. Le vivant est dans une recherche permanente d’équilibre en activant de multiples symbioses et interactions entre le milieu intérieur et l’environnement. Tout ou rien, bien ou mal, cette logique de dualité n’a pas vraiment cours au sein de notre organisme. Il est donc grand temps d’enterrer définitivement cette citation, ou du moins de la relayer aux livres d’Histoire, afin de construire une vision de la santé moins radicale dans laquelle les différentes approches puissent se nourrir et non se combattre, à la manière de la synergie vertueuse entre les microbes et notre organisme.
Vues 1 562 Il y a quelque chose d’absolument stupĂ©fiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! VoilĂ un homme dont la principale gloire Ă la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessĂ© et mutilĂ© plus de manifestants que l’ensemble des prĂ©sidents de la RĂ©publique qui l’ont prĂ©cĂ©dĂ© depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se reprĂ©sente Ă la PrĂ©sidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection rĂ©sulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaĂ®tront qu’elle fut rendue possible parce qu’il rĂ©ussit durant son premier mandat Ă transformer, par touches successives, une dĂ©mocratie en un rĂ©gime autocratique, portant le système de propagande d’État Ă un niveau de perfection jamais atteint par ses prĂ©dĂ©cesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquĂ©e reste nĂ©anmoins classique. Elle consiste Ă A Lobotomiser la population en rĂ©pĂ©tant une information, toujours identique, formatĂ©e et contrĂ´lĂ©e. Elle est reprise en boucle sur les chaĂ®nes publiques de radio et de tĂ©lĂ©vision sans oublier les chaĂ®nes privĂ©es d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministère de la VĂ©ritĂ© voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le mĂŞme narratif Ă longueur de journĂ©e. Personne ne peut y Ă©chapper. Bien sĂ»r, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait lĂ qu’appliquer des mĂ©thodes de lavage des esprits Ă©prouvĂ©es depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait dĂ©jĂ dans les annĂ©es trente un mensonge rĂ©pĂ©tĂ© 5 fois reste un mensonge, mais rĂ©pĂ©tĂ© 100 devient vĂ©ritĂ© ». B DĂ©velopper des comitĂ©s de censure dĂ©guisĂ©s souvent en comitĂ©s d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommĂ©s. LĂ encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent Ă la crĂ©ation dès 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archĂ©type du comitĂ© de censure d’État Ă la botte du rĂ©gime, son bras armĂ©, chargĂ© d’asservir l’audiovisuel en dĂ©finissant les temps de passage Ă l’antenne, en infligeant des amendes exorbiÂtantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion Ă tout site qui serait tentĂ© de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non reprĂ©sentatif de la Nation parce qu’élu non dĂ©mocratiquement des lois liberticides visant Ă bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet Ă s’autocensurer et Ă retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journĂ©e sous la menace d’amendes ou d’être privĂ©s du droit de diffusion. La brève liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des mĂ©thodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertĂ©s fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrĂ´le de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du système de santĂ©, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de rĂ©pression comme l’a montrĂ© la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le rĂ©gime prĂ©serve les apparences d’une dĂ©mocratie puisque des Ă©lections sont organisĂ©es rĂ©gulièreÂment … sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se rĂ©veiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des annĂ©es le mĂŞme narratif sans rĂ©elle contre information. C’est cela la dĂ©mocrature la majoritĂ© du peuple, lobotomisĂ©e et devenue incapable d’aucun questionÂnement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisquĂ© le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes
Contenu principal Recherche Pied de page Billet de blog 26 nov. 2015 Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au désir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les réflexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Ce n’est pas facile, toujours le silence se heurte au désir de le rompre. On ne va pas trop pas assez en terrasse, alors on lit et voit passer les réflexions, les analyses. Certaines font vraiment du bien, on finit par entendre des choses. Qu’on assiste à une islamisation de la radicalité Roy, que les jeunes qui portent une violence comme dans les années 70 certains voulaient violemment en découdre sont des produits d’époque, ont choisi la marque Da’ech qui proposait la plus grande violence Liogiet, se radicalisent en chambre dans un contexte d’exclusion sociale Khosrokhavar, que le récit Da’ech fonctionne auprès de jeunes qui ne font pas groupe, l’endoctrinement est individualisé, parfois il est très kitch, les garçons en chevaliers et les filles en princesses de chevaliers Salmon. Derrière ce pauvre récit il y en a un grand, qui nous fiche des frissons celui de l’apocalypse, de la fin des temps. Nos gosses, quelques-uns de nos gosses sont attirés par le récit catastrophique de la fin des temps, ça nous fiche des frissons. Attirés par les récits de la fin des temps, il n’y a pas que certains de nos gosses. C’est un ressort de fiction sensationnel, la fin des temps. J’ai noté lister et lire les premiers récits d’apocalypse. Lire.Certains de nos enfants, nés en France ou en Belgique de parents nés au Maghreb ou nés en France de parents nés en France et qu’on appelle affreusement de souche », sont plus qu’attirés par les récits de fin du monde qui leur proposent une place, un rôle ils y vont, ils vont y jouer, jusqu’à la mort. Rentrer dans un récit, c’est vivre d’imaginaire, c’est ce que nous faisons tous, c’est notre chance et c’est notre plaisir, c’est le partage du sensible » Rancière, je me prends pour - puis très vite la chance d’empathie devient un poison, je me prends pour un palestinien, pour un arabe sunnite du Moyen-Orient dont l’intervention américaine en Irak a fait un paria Benraad, la fiction prend toute la place, jadis nous étions deux, moi ici et l’autre là -bas avec qui je communique, dans la peau de qui je peux me déplacer pour sentir avec lui, nous étions deux et nous naviguions, je tirais de cette expérience d’imagination plus d’humanité, de la compréhension, je mettais en oeuvre des choses concrètes, dans le lieu le pays, le quartier où j’étais, puis je suis devenu lui, bien sûr c’est la chronologie en moins, je deviens lui, je suis plus royaliste que le roi, comme toujours, la violence a trouvé son chemin, le chemin me permet de faire d’une pierre plein de coups. Ce coup-là je suis ailleurs. C’est virtuel d’abord et ça ne l’est plus. Bon sang, combien de révolte, quel besoin d’actions avant que. Combien de temps passé à tenter de contrôler ses pulsions à se les interdire, à les rendre coupables, à activer un sur-moi plein de haine avant que. Et comme elles font retour, les pulsions, et avec quelle puissance. J’ai noté combien, en France, compte-t-on de radicalisés ? La population des jeunes de 18 à 30 ans, en France, origines des parents confondues, quel chiffre ? J’ai imaginé que la proportion, que je n’ai pas cherché à établir, me semblerait, nous semblerait ridicule. Ce qui ne dédramatise rien. Puis, juste à la suite, j’ai noté aux grands rassemblements que la COP21 attendait en ses marges, combien de jeunes, engagés non pas autour d’un désir de fin du monde mais au contraire autour de celui de préserver le monde commun qu’ils vivent et veulent vivre, avaient-ils décidé de se retrouver ? Comme j’habite en un lieu d’ex frontière Shenghen et que l’ex frontière est redevenue frontière, je fais l’expérience d’une circulation très dense d’un côté et de l’autre c’est que les contrôles sont de nouveau actifs. Hier soir je répondais à la question de mon fils c’est qu’ils cherchent le jeune gars qui s’est échappé après avoir balancé sa ceinture d’explosifs dans la poubelle de Montrouge. Non, me répondait notre ami. C’est pour éviter que des mouvements d’extrême gauche - notre ami a l’âge de l’extrême gauche plus que celui de l’ultra-gauche - ne débarquent à la COP21. C’est un blocage prévu bien avant les attentats. Au retour, dans la voiture bloquée dans les embouteillages et après que nous avons allumé puis éteint la radio, mon fils a dit quel dommage que les gars qui s’embarquent dans ces violences-là , qui ont tant d’énergie, ne se battent pas contre les multinationales, le capitalisme sauvage, la mort annoncée de la planète.Que le goût de la fiction est une chance qui tourne poison, que l’empathie ou la capacité d’imagination peut parfois, quand on est salement manipulé, donner le pire, ou donner des états d’esprit bien tristes, on a du mal à graduer l’horreur, on le voit ailleurs. Dans un village que les vagues ou flots ou flux migratoires n’atteint pas, les craindre pourtant, se sentir envahis - c’est ce qui explique le nombre de votants FN dans les campagnes, les gens qui votent sont pourvus d’imagination, d’un imaginaire qui se contente de ce qu’on lui donne parce qu’on croit qu’il veut cette pauvreté-là , ou parce qu’on croit qu’il ne peut rien recevoir ou comprendre d’autre que cette pauvreté-là .J’ai noté surtout ne commence pas à faire la liste de toutes les raisons pour lesquelles les média nous vendent comme ils le font le FN, depuis, je dirais, une vingtaine d’années. Ne commence pas, parce qu’en fait il n’y a pas de raisons, il n’y a pas une cause, aucun projet là -dedans, on suit un penchant, une pente, sans doute la pente de la facilité, d’une facilité. Que la capacité d’imagination, quand elle rencontre la difficulté à faire groupe, à être avec les autres sans parler des autres-différents, non, mais des autres-camarades, de classe, de boulot, de quartier, que la capacité d’imagination, quand on est seul, sans lien, dérape, nous échappe, nous fasse un peu fous, on le devine. Il est difficile d’être relié, lié aux autres aux autres-mêmes, aux camarades de classe, de boulot, et aux autres-autres. C’est vrai, c’est difficile. Les centres-villes se vident ouvrent les centres commerciaux et ferment les boutiques, les villages sont habités par les néo-ruraux qui s’occupent de leur jardin et de leur voiture, ne prennent pas les transports en commun car il n’y en a pas souvent et n’attendent pas à la poste parce que le bureau de poste est fermé. J’ai noté ne parle pas de l’école, pas encore du moins parce qu’il faudrait alors faire long, très long. La capacité d’imagination, quand elle débouche sur des engagements mortifères comme celui de certains de nos gosses en Syrie, comme celui de l’adhésion aux thèses du FN, a dû longuement chercher à se raccrocher à quelque chose, elle avait tant à recevoir et à donner. Tristesse qu’elle n’ait pas rencontré mieux et attention, ici, préciser que zut, elle avait de quoi rencontrer mieux, individuellement on peut toujours rencontrer mieux et on est responsable aussi de qui on rencontre, de quoi on rencontre. Un peu comme dans la vie amoureuse. Tu avais tant à donner et à recevoir que celui ou celle qui est venue pleurer qu’il avait besoin de toi et de toi exclusivement pour respirer, tu n’y as pas résisté et tu t’es retrouvée sous l’emprise psychique de quelqu’un que plus tard tu as pu nommer pervers ? Mais ce n’est pas fichu, tu apprends des rencontres et tu la soignes, peu à peu, l’imagination cavaleuse qui fait fi du réel. Non ? Dans la vie amoureuse tu l’avoueras facilement, ce n’est pas fichu, rien n’est jamais fichu. Est-ce qu’on peut dire la même chose des engagements qui te mènent sur le terrain d’une guerre de conquête avec idéologies dégueulasses d’exclusion totale et de haine de soi ? Est-ce qu’on peut dire pareil des engagements que tu as pris, seul dans ta chambre, de ces engagements qui te mènent à croire au diable et à le voir devant toi, qui deviens quelque chose comme ça aussi, diable, l’envers du diable, l’autre absolu ? Est-ce que tu peux faire marche arrière et accepter qu’on te fasse d’autres propositions ? Qu’on ouvre un autre chemin à ton besoin de … De quoi ? Ton besoin de danger ? Je poursuis la comparaison. Dans le choix amoureux passionnel, ce que tout le monde comprend, tant de récits nous en sont proposés, il est évident que c’est par un excès de vie de joie, d’enthousiasme, de capacité à donner et recevoir qu’on peut choisir la mort, du moins l’enfer. Voir ceci ; comment dans les choix dingues de certains de nos gosses, la désespérance ils vont tuer et ils vont mourir va de pair avec un élan de vie une énergie incroyable. J’ai noté y revenir.Ce n’est pas facile de ne pas être seul. On parle toujours de lien, de lien social mais non, ça ne va pas de soi, parfois on ne sait pas comment on fait pour être dans un groupe. Il faut ne pas avoir honte, il faut accepter de ne pas tout comprendre, il faut faire le clown, il faut ne pas faire le clown, il faut supporter l’ennui, il faut avoir des choses à dire, il faut penser quelque chose sur chacun des sujets, etc. Pour qui, en réalité, est-ce facile, d’être dans un groupe ? Et puis il y a la fin de la journée, les enfants sont couchés, il pleut, on a bien le désir d’aller à cette réunion, de faire quelque chose avec et pour les autres - on est fatigué, on ne sait pas s’y prendre. J’ai fui les commentaires d’après le 13 novembre. Ceux du quartier, ceux de la rumeur des villes et villages, ceux qu’on lit derrière les articles des journaux. Je les craignais. J’ai choisi ce que je lisais, j’ai fui, volontairement, les terrasses et les réseaux. Puis le silence et ma surdité ont pris fin ; ils ont pris fin grâce à une parole d’enfant, une parole d’enfant de 11 ans, une enfant de 6ème, c’était plus fort qu’elle, la parole de l’enfant a jailli en plein cours, hors propos il ne faut pas dire islamistes, Madame. comment il faut dire ?il faut dire terroristes, c’est tout. Parce que dans islamistes on entend islam et c’est dégueulasse pour l’ la classe, personne ne l’a contredite, pour les enfants ce jour-là , dans cette classe-là , ça avait l’air clair, il y avait terroristes d’un côté et l’histoire d’un Dieu, quel qu’il soit, de l’autre côté. J’ai été émue, j’ai été rassurée. Bien sûr l’état d’urgence permettait de mettre en place des mesures injustes qui risquaient d’envenimer les choses dans le sens que craignait la petite fille, la confusion, l’amalgame comme on n’arrêtait pas d’entendre le dire plus et plus pour ne pas le craindre et donc ne pas le voir venir, bien sûr les contrôles au faciès on ne pouvait même plus les critiquer, bien sûr les villes pouvaient devenir de plus en plus vides et la solitude, avec ses élans d’imaginations qui ne demandent qu’à galoper, qui galopent dans le vide de la toile, d’endoctrinement en endoctrinement, de plus en plus lourde. Mais j’ai été un peu rassurée. Et je suis sortie de chez moi. J’ai noté le coeur du sujet, le coeur du sujet - mais je ne pouvais pas, j’avais une tristesse de plus, une inavouable, une inaudible, j’y viendrai, allons, allons, tu tournes autour, c’est vraiment, je me disais, ton imagination à toi, galopante, une de solitude, qui ne fait pas autant de mal que d’autres, elle m’a frappée là , au coeur, au coeur du sujet, vas-y, on verra, je peux pas, pas tout de suite. Je suis sortie de chez moi parce que j’étais invitée dans un lieu emblématique, on dira. Un lieu qui a de la gueule, qui nous renvoie à une idée de l’accueil, de l’hospitalité, de la culture. Un lieu qui n’a plus rien à prouver parce qu’il a tout prouvé, il a fait, il a été au coeur de la pensée et de la fabrication d’objets bien bons à partager. Un lieu hors solitude, hors de la solitude dont on parlait. Un lieu qu’ont connu les parents de ceux de ma génération. Puis ceux de ma génération. Puis ceux de la génération d’après. Il compte encore, ce lieu. Je crois, du moins. Je croyais, du moins. On n’y faisait pas n’importe quoi, après les attentats du 13 novembre, on n’y faisait pas n’importe quoi mais ça n’avait aucune sorte de rapport avec les attentats du 13 novembre. C’était dans le cadre du festival Migrants scène, le festival de la Cimade, on allait parler de parcours migratoires, d’accueil des réfugiés. On n’avait pas encore entendu le premier ministre sur la question, heureusement ; le festival était prévu de longue date, c’était une belle chose j’étais de plus en plus rassurée que le débat prévu soit maintenu, en même temps il n’y avait aucune raison pour qu’il ne le soit pas, on parlait de personnes fuyant la guerre, celle que mène Da’ech mais pas seulement, on parlait du monde comme il nous est, comme il nous est commun ou pas, comme il nous sera, on était à quelques semaines de la COP21 et on parlait des présents et des futurs réfugiés climatiques, on expliquait les parcours migratoires, on avait le désir que les gens présents, nombreux, imaginent moins ce qu’on leur donne à imaginer mais imaginent mieux, sachent. Soudain la maîtresse du lieu emblématique, en maîtresse emblématique des lieux, interrompit l’intervention. Nous n’étions que gauchistes à cause du discours de qui on en était où on en était. On ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passé. On ne pouvait pas faire comme si depuis vingt ans on n’avait pas renoncé à la laïcité, comme si on n’avait pas cédé sur le communautarisme. On avait ne pouvait pas faire comme si le problème était qu’on ne pouvait pas ne pas manger hallal si on voulait ne pas manger hallal. On ne pouvait plus entendre ce discours de perroquets militants que nous étions alors que nous étions attaqués comme nous l’étions. Bref, la maitresse des lieux étant la maitresse des lieux et son oeuvre et sa biographie magnifiques comme elles l’étaient, personne ne put vraiment répliquer, bien que chacun tenta de le faire. Que le problème n’était pas le communautarisme. Que la laïcité avait été pensée à un moment de notre histoire et qu’elle pouvait bien être repensée avec des aménagements, parce que nous ne vivions pas au XIXème siècle. Que oui, beaucoup de choses sont négociables. Que la solitude et l’imagination. Que les jeunes qui ont commis les attentats sont nés en France et en Belgique. Que nous étions invités à parler de migrations. Que. Etc. J’étais sortie de chez rentrais chez moi, comme après un combat de boxe, rouée de coups. Je n’arrivais plus à traduire Ovide. Je lisais Le chevalier de maison-rouge. Sur la route du retour, j’avais entendu, au hasard d’une conversation amicale, autre chose. Je n’avais pas voulu savoir. Je recommençais, avec la surdité. J’avais entendu d’ailleurs, dans la même conversation amicale, les 41% d’intention de vote du FN. Mon fils avait dit alors c’est bizarre, à 20% tu pleurais toutes les larmes de ton corps et là non, tu pleures plus ? J’avais entendu autre chose, je l’avais un peu oublié parce que je n’osais pas l’entendre pour de bon, je me censurais. C’est revenu. J’avais entendu qu’à l’Assemblée Nationale, on avait applaudi l’annonce de la mort d’Abdelhamid Abaoud. J’avais entendu des mots forts, fermes, on souhaitait la mort des monstres, des barbares terroristes responsables des 130 morts parisiens. On voulait éradiquer, frapper, se débarrasser, etc. Bien sûr par la violence verbale on exorcisait l’horreur vécue, le traumatisme. Le monde qu’on aimait, terrasses, sports, musiques. Nous. Nous-mêmes, notre plus intime, l’intime de ceux qui savent à peu près mais ce n’est pas si facile ne pas être seuls, trouver le lien, faire du lien, vivre avec les autres proches et les autres-autres, on était infiniment choqués et donc on voulait éradiquer, pas seulement une idéologie, pas seulement on voulait en finir avec da’esh, on voulait en finir avec l’idée qu’il y avait de l’humain derrière les jeunes qui prennent les armes et mitraillent de sang froid une foule qui écoute de la musique ou boit un verre en terrasse. On en finissait avec l’humain, on disait monstre, barbare. Il y a plein de façons de sortir quelqu’un de l’humanité. On peut refuser de voir son corps enterré. On peut le traquer à mort. On peut lui trancher la tête. On peut faire exploser son corps, le déchiqueter. Pour tirer sur les jeunes qui font la fête il fallait bien qu’Abdelhamid Abaud soit allé loin dans la déshumanisation de ses victimes et dans la sienne propre, et sans doute imaginait-il très bien ce qu’il obtint un corps décomposé, qui n’a plus forme de on tient à un fil. On tient chacun à un fil. Si on tombe de l’autre côté, parfois dangereusement funambules, peut-on revenir ? Qui le sait ? A-t-on des exemples ? On tient à un fil. Les manières de revenir à l’humanité, c’est à dire de retrouver l’équilibre entre toi et moi, l’autre et moi, un imaginaire de bonne distance, existent-elles quand on a basculé ? Je n’en sais rien. Je voudrais savoir. Je me sens concernée par cette question, infiniment. J’ai noté pourquoi mais pourquoi cette obsession, question devenue principale, alors que, alors que. Si je m’approche d’une réponse, elle est intime et comme tout ce qui est si intime elle nous concerne collectivement.De retour chez moi, après le silence suivi du débat suivi de la violence verbale suivi du silence de nouveau, de retour chez moi, pleurer, pleurer, en cachette. Il y avait un jeune homme en fuite. Il avait été loin, il était tombé du fil de notre humanité où nous marchons tous plus ou moins dangereusement, en funambules, il avait basculé. Je pouvais avoir très peur de lui. Je connaissais, comme tant de monde, des gens qui avaient échappé à sa folie. Parmi eux, des très proches. J’avais tremblé une partie de la nuit. Pas tremblé je m’étais décomposée. J’avais fait une expérience pas glorieuse rien ne m’intéressait que de savoir cette nuit-là si D était vivant. J’étais sur un fil, moi aussi. J’avais eu peur et j’aurai encore très peur de lui et de ceux qui comme lui sont prêts à tout, à regarder une foule comme une foule de morts, déjà . Pourtant je ne savais pas répondre à cette question et s’il revenait ? S’il revenait à lui, s’il regrimpait sur ce fil, du côté de l’humanité ? Si je posais la question c’est que, allons, disons-le, c’est incroyablement optimiste, disons même qu’il y a quelque chose de presque religieux là -dedans je veux bien, si je posais la question tout en imaginant la traque et comment elle finirait, c’est que je pensais que jamais jamais personne n’est ce qu’il fait, ce qu’il dit, ce qu’il a fait, en tout cas personne personne ne se réduit à ceci qu’il a fait, a dit, a cru, a pensé. Qu’il y a un quelque chose d’autre et que ce quelque chose d’autre est parfois si loin qu’on n’y croit pas, parfois on peut aller le chercher, parfois c’est tout près. Je dis que c’est quelque chose que je pensais. En réalité c’est plus du côté de la croyance. Je l’avais, cette croyance, ok. Mais maintenant ça ne me suffisait pas, je voulais savoir si on peut revenir à soi, retrouver le petit équilibre d’à peu près la solitude, la raison, d’à peu près l’imaginaire, si on peut retrouver un point à peu près supportable de vie entre soi et les autres - si on peut, comment le peut-on ? Qu’est- ce qui fait qu’on hésite ? Qu’est-ce qui déclenche le doute ?Le premier doute ? La première image ? Qu’est-ce qui fait qu’on hésite au moment même du basculement ? C’est une question générale et elle ne présume de rien, pas du tout de ce qu’a pensé, fait, imaginé, voulu ou pas Salah Abelstam. Je pensais qu’on pourrait savoir quelque chose de ça. Je pense qu’on pourra savoir quelque chose de ça. Je pense que c’est infiniment important pour réagir à ce qui se passe quand certains de nos jeunes, endoctrinés, tuent d’autres jeunes du même âge, de tenter de savoir quelque chose de ça. Important pour comprendre, après les phénomènes d’inhumanités dont l’Histoire ne manque pas, ce qui fait qu’on peut, peut-être, revenir à soi. Parce qu’il faut bien qu’on revienne. A condition qu’on ne tue pas Salah Abelstam, à condition qu’il donne à ceux qui le traquent la possibilité de ne pas le tuer, à condition que ceux qui le traquent soient bien convaincus qu’il n’a pas été jugé, pas encore, qu’il n’est pas condamné, pas encore, on pourra entendre quelqu’un qui s’apprêtait à commettre un acte monstrueux et en savoir plus sur le monstre qu’on est, qu’on est un peu moins, qu’on peut ne plus être. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financières de La France insoumise Recommandés par nos abonnées À la Une de Mediapart Journal — Politique Sexe, chantage et vidéo l’odieux complot L’entourage du maire Les Républicains de Saint-Étienne, Gaël Perdriau, a piégé son premier adjoint centriste Gilles Artigues, ancien député, en le filmant à son insu avec un homme lors d’une soirée intime, à l’hiver 2014, à Paris. La vidéo est depuis utilisée pour le faire chanter, selon une enquête de Mediapart, qui révèle les coulisses de cette opération. Journal — France L’expulsion de l’imam Iquioussen en débat devant le Conseil d’État Après la décision du tribunal administratif qui a suspendu l’expulsion de Hassan Iquioussen vers le Maroc, début août, le ministère de l’intérieur a fait appel. L’audience s’est tenue vendredi, et le Conseil d’État doit rendre sa décision en début de semaine prochaine. Journal — France Quand Gérald Darmanin et Hassan Iquioussen dînaient ensemble Le Conseil d’État se prononce vendredi sur l’expulsion de l’imam Hassan Iquioussen, souhaitée par le ministre de l’intérieur. Mediapart a appris qu’avant les municipales de 2014 à Tourcoing, Gérald Darmanin avait tenté de séduire lors d’une rencontre celui qui avait déjà tenu les propos antisémites qui lui sont aujourd’hui reprochés. Il cherchait à s’attirer les voix des musulmans dans le Nord. Journal — Agriculture Le combat des éleveurs du Ndiaël pour récupérer leurs terres » Dans le nord-ouest du Sénégal, une coalition de 37 villages proteste depuis dix ans contre l’attribution de 20 000 hectares à une entreprise agroalimentaire. Ce conflit foncier illustre un phénomène généralisé sur le continent africain l’accaparement de terres par des multinationales. La sélection du Club Billet de blog Immigration isoler le ministre de l’Intérieur Alors que Gérald Darmanin a annoncé sur RTL la présentation d’une loi pour lever les réserves » législatives empêchant l’expulsion du territoire d’étrangers délinquants, une centaine d'intellectuelles et de militantes appellent à une campagne de mobilisation nationale ». Ils et elles veulent vaincre la politique de calculs rances et de cruautés démultipliées en lui opposant une logique de droits humains et démocratiques égalitaires ». par Les invités de Mediapart Billet de blog La double peine ne s’assume pas, elle se supprime [REDIFFUSION] Depuis plusieurs jours, le ministre de l’Intérieur assène des accusations hâtives, des affirmations approximatives et des contre-vérités, probablement dans le seul but de flatter une certaine partie de l’opinion. Pourtant, c’est bel et bien la double peine qui doit être abolie, et non ses faibles remparts. Billet de blog Préconisations pour les droits des enfants et adolescents isolés marocains Alors que le ministère de l'Intérieur mène une campagne aussi nauséabonde que dangereuse contre les étrangers, qu'ils soient en situation régulière ou pas, alors qu'il s'apprête à déposer un projet de loi visant à les priver de davantage de droits, SOS Migrants mineurs entend contribuer aux débats urgents à mener avant cette nouvelle offensive gouvernementale. Billet de blog Estrosi, toujours aussi fier de déloger des sans-abris [REDIFFUSION] Le localement tout-puissant maire de Nice est en grande forme après avoir fait à Darmanin des recommandations » en matière d’immigration que n’aurait pas reniées Le Pen père dans ses plus belles heures, voilà que, en pleine canicule, il se rengorge d’avoir délogé de leur campement de fortune des sans-abri vivant dans leurs tentes en plein soleil, sur une jetée. par Mouais, le journal dubitatif
Mon cher lecteur, Les bourses s’enfoncent dans la crise sous couvert de coronavirus. Elles doublent leurs pertes d’hier à Wall Street avec -7,5% pour le Dow Jones et -6% pour le S&P500. La volatilité s’envole aujourd’hui VIX laissant s’installer un climat baissier… Malgré les déclarations plus qu’ultra-accomodantes des banques centrales. Et je maintiens mon analyse d’un point de vue économique, le coronavirus n’est qu’ un révélateur des faiblesses de nos économies et plus généralement de nos sociétés. Quelle n’a pas été ma surprise en découvrant aujourd’hui ce texte remarquable de Xavier Bazin C’est à mon avis la meilleure analyse sur le danger réel du virus et Xavier Bazin y développe la thèse du Dr Béchamp, contemporain de Pasteur qui dît de lui Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ». Le terrain ? Xavier Bazin explique avec une grande clarté que la santé générale d’une population le terrain importe sans doute plus que le virus lui-même ce n’est pas pour rien que la grippe espagnole sévit à la fin de la Première Guerre mondiale sur des populations affaiblies par la guerre et ses privations. Ce n’est pas non plus pour rien que le coronavirus est bien plus létal sur les Chinois à majorité fumeurs et très exposés à la pollution que dans le reste du monde. Le virus révèle au niveau microscopique les faiblesses de notre organisme comme il révèle les faiblesses de nos sociétés au niveau macroscopique et économique. L’épidémiologiste Luc Périno souligne dailleurs que Un virus n’a pas intérêt à tuer son hôte car, en le tuant, il disparaît aussi. Les médias, qui ne s’intéressent qu’aux pics, ne parlent plus du Sras ni du Mers, mais ils sont toujours actifs. » Nous avons donc des raisons sérieuses de ne pas surestimer l’ampleur de cette crise. Et pensez bien que ce que je vous dis, les autorités le savent encore mieux que moi. Alors pourquoi cet emballement médiatique et ce soudain décrochage boursier ? Les signaux sont nets, il y a de la panique au sommet panique politique à Paris la passe d’arme entre Buzin et Hidalgo sur le virus est plus que déplorable, panique économique et panique monétaire. C’est que nous sommes extraordinairement fragiles sur tous ces plans. Nos sociétés ne font plus corps ». Nos économies n’ont plus aucune résilience et nos monnaies ne sont plus que des totems qui ne tiennent qu’à la facilité et à l’aveuglement collectif. Je lisais hier dans Les Échos que l’Europe tente d’endiguer la crise sans rétablir de contrôles aux frontières » suivi immédiatement de cette phrase les Européens tentent de s’organiser sans céder à la panique ». Quel étrange parallèle entre le contrôle aux frontières » et la panique ». Le même raisonnement a été tenu il n’y a pas si longtemps avec la peste porcine lorsque l’OMC a interdit les embargos sanitaires sur la viande de porc. Résultat, un quart du cheptel mondial de porc a dû être abattu créant une pénurie de protéines qui s’installe pour longtemps le prix du porc en France a bondi de 50% alors que nous n’avons pas été touchés. Je ne doute pas de la difficulté à apporter la bonne réponse à la crise du coronavirus et je ne doute pas non plus de notre échec si nous restons aveuglés d’idéologie néolibérale au détriment de l’efficacité et de la lucidité. Après tout, rétablir des contrôles aux frontières n’a rien de scandaleux et l’on pourrait bien se souvenir de certaines vertus oubliées de cet exercice fondamental de notre souveraineté. C’est peut-être cela qu’ils craignent. Nous pourrions estimer collectivement que le coronavirus n’est pas différent de la grippe saisonnière et ne rien changer à nos habitudes. Nous pourrions au contraire choisir de prendre des mesures de précautions et nous protéger préventivement. Je ne crois pas qu’un choix soit meilleur que l’autre ou en tout cas, que nous ayons les éléments pour trancher avec certitude. Mais quelle étrange façon de laisser nos frontières ouvertes tout en laissant s’installer un climat médiatique si anxiogène nous avons le pire des deux choix mais de choix nous n’en avons eu aucun tant nos dirigeants ont perdu pied avec la réalité. Nous observons dans cette crise un bouquet de réactions pathologiques qui accompagnent généralement les grandes crises sanitaires de notre histoire par exemple la grande peste de 1720 à Marseille. Notre chance est que le coronavirus ne soit pas plus mortel. Notre malheur est que nous ne sachions réagir face à ce risque… Alors que cette partie, elle, est entre nos mains. Face à l’effondrement de nos structures politiques et sociales, le salut de l’investisseur se trouve dans le local et l’inaltérable, dans l’investissement de proximité et dans l’or, qui sont deux piliers de longue date de Risque & Profit que je vous invite à découvrir en cliquant ICI. À votre bonne fortune, Guy de La Fortelle
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